C’est un schéma littéraire (et qui existe en musique je crois, par exemple le Boléro ? Mais ce n’est pas mon domaine donc si des musiciens veulent ajouter leur note en commentaire, je suis tout ouïe) qui illustre le fait que l’univers est non-reproductible et qu’une situation n’est jamais vraiment la même, même si c’est plus rassurant pour le mental de le croire.
C’est comme s’il y avait à la fois une base commune et un détail qui fait toute la différence, soit on décide de regarder ce qui se ressemble, soit on décide de regarder ce qui est différent. On a le choix et il n’y a pas jugement à émettre sur ce qu’il faut regarder pour être une bonne personne, ou encore une personne intelligente.
Je répète : on a le choix 🤲
Ca me donne aussi envie de faire le lien avec les neurosciences car dans les différents modes de gouvernance il y a l’automatique et l’adaptatif. Et finalement les deux sont complémentaires car on a besoin du mode automatique pour éviter de réapprendre à conduire à chaque fois qu’on prend la voiture.
J’ai retrouvé ce texte en déménageant, j’ai dû l’écrire l’année dernière, je l’avais mis de côté et je trouve qu’il résume bien ce mois de juin. Une impression de répétition dans sa vie n’est qu’une impression, à nous d’en percevoir les variations et de transformer le cercle en spirale 😉